Sincères salutations mes enfants. Nous sommes aujourd’hui réunis autour du feu pour écouter l’histoire de Jean-Pulpe, jeune finlandais du sud de l’Amérique Centrale, un peu plus à droite que prévu (pour de bien obscures raisons imposées par une organisation tout aussi sombre), afin de tous retirer une leçon enrichissante des acquis de ce jeune fanfruleux (prière d'excuser les procédés comiques ancestraux usés, mais il faut savoir faire la balance avec tous les outils que l'on possède).

Ce jeune garçonnet à l’allure de videur de boîte de nuits s’est récemment fait agressé par un cheval imaginaire, et a fini à l’hôpital avec comme bilan, aucune fracture, aucune contusion, bref, aucune blessure. Donc pour éviter de vous faire agresser par des chevaux imaginaires, éviter les endroits où il y a des chevaux imaginaires. Comme cela vous n’aurez jamais de blessures inexistantes. Actuellement Jean-Pulpe serait en rééducation fictive, car il s’avérerait qu’il n’existe pas. C’est une petite histoire à la morale éblouissante de clarté .

Brève intrusion du réel... Pour rendre l'ensemble attractif (je parle du lieu virtuel que je crois avoir en ma possession), j'ai bien l'envie de reprendre ma vague absurdiste sur d'innocents sujets qui ne verraient jamais le jour dans un cadre réaliste. Excusez-moi si de cela suit une intense bêtification, mais il est agréable d'écrire sans retenue aucune des propos déconcertants et amusants (déconcertants pour ce qu'on qualifiera de "commun des mortels" qui n'ont heureusement pas l'air de trop peupler ces environs).

Ceci favoriserait donc le coté "imagination" de ma cérébralité et non la délicate cohérence de bien beaux mots que j'ôse connaître. De toute manière étant de nature instable je sauterai d'un type à l'autre.

Voilà, je garde quelques uns de mes monstres sous verrou car pour l'instant c'est suffisant, il ne faut pas surcharger le lecteur (éventuel).